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Médiathèque

Ludo-Médiathèque
168, chemin de Pébon
40270 BORDERES ET LAMENSANS
    05 58 45 10 61
mediatheque.borderes@wanadoo.fr

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Mardi : 15h-19h
Mercredi : 10h-18h
Vendredi : 15h-19h
Samedi : 10h-12h30

De novembre à mars, le dimanche de 14h30 à 17h

29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 10:58

Rendez-vous à 8h15 dans le couloir pour aller petit déjeuner dans notre centre d'accueil Louis Lumière. Nos GPS Lucie et Laura nous ammenent ensuite jusqu'à la cathédrale notre Dame. Nous prenons le métro, Porte de bagnolet (tout prêt de chez nous) et après des escaliers, des métros, des escaliers, des métros, nous arrivons sur les pavés de l'ile de la cité. La visite se fait sans guide, mis à part la Mère Mouette qui nous lit l'histoire de la maison de Casimodo. Une fois le our du monument fait, nous sortons et nous sommes accostés par un vendeur de mini Tour Eiffel. Il nous dit très gentil et admire les yeux de Claire. Et voila que nous sommes les heureux propriétaires de 31 petites Eiffel Tour. Devant la cathédrale, c'est flash à volonté : on se prend en Dieu ou pour Dieu, on fait allonger Amélie "Lareine" sur le sol dur et glacé pour prendre un cliché original.
Mais comble du comble, nos deux GPS (devant montrer l'exemple) sautent derrière un groupe de japonais pour gacher la photo. Ceux-ci les ayant vues, ils les obligent à venir faire  la photo de groupe. Au milieu, sans défense, emprisonnées, Laura et Lucie posent malgré elles devant un guide japonais ayant une trentaine d'appareils photos. Pour voler à laur secourss, tous les Bordèriens se mèlent au joyeux groupe pour une photo souvenir gigantesque ! Malgré les cris de protestation de nos nouveaux "amis", nous partons vers une nouvelle aventure au galop : Le Louvre.


Nous arrivons devant un immense bâtiment construit à la Renaissance. Après avoir goûte dans la salle d'attente, notre guide, Claire (pas la mère Mouette), nous emmene voir différents tableaux et sculptures (photographiés avec soin par laura qui après avoir rempli l'appareil de Claire, s'attaque à celui de Sandrine) : la "Vénus de Millo", la "Victoire", la "Joconde", le "Sacre del'Empereur" et nous pouvons apercevoir les oeuvres de Picasso. Du monde, des appareils photos, des étudiants dans les beaux arts, le Louvre est une fourmillière grouillante.

Après s'être légèrement dispersée, notre petite troupe prend le chemin des restaurants : chinois, libanais, italiens, espagnols... le choix alimentaire est sans fin. Avant de sediriger vers la Tour Eiffel, petit tour aux toilettes. Laura, après être allée voir avec Amélie "lareine" s'il y a pas de toilettes  non -payantes dans les étages, croit que des ascenseurs font office de "petit endroit". Nous ne dirons pas le suite, elle loupe la marche de l'escalator et manque de s'étaler de tout son long.

Encore métro et puis nous apercevons enfin l'antenne culminant à 317m...ouais ! Petite pause photo devant la géante dame de fer où Lucie pose avec une militaire qui l'a prise pour une cruche. En effet, notre pigeonne pro vaillant, gentille et attentionnée envers son nouvel ami lui demande ce qu'il fait armé à la Tour Eiffel . Le militaire dit "de la prévention". "La prévention de quoi?" . "la prévention anti terroriste". C'est avec un petit sourire que Lucie revient vers nous, sous les acclamations de ses camarades. Nous montons la Tour Eiffel, avec l'ascenseur, jusqu'au 3ème étage, avec une légère pause au 2ème. Là, dans la file d'attente et pour nous occuper, nous nous sommes réincarnés en personnages divers  :Lucie est lucky Luke, Marie Julia est Jo, Audrey est Jack, Solène est William, Julie est Avrel, Antoine est le banquier, Sandrine le chat de Ma Dalton interprété avec brio par laura, Mélanie est le croque-mort, Camille est le shérif, Amélie est Rantanplan et Claire est joly lumper. Les regards en coin qui nous dévisagent, nous, nous en contrefichons !


Après avoir pris je ne sais combien de photos (n'est ce pas Laura !) , nous faisons une réunion au sommet (c'est le cas de le dire !) qui nous sert par la même à nous réchauffer. Nous décidons de faire cp sur Montmartre, et d eprendre le finiculaire (c'est une question de survie musculaire. Au Sacré Coeur, un artiste du ballon rond fait son show, devant nos yeux ahuris. Nous montons les quelques marches jusqu'à une petite place où d'inombrabes artistes veulent nous faire le portrait  (pas nous casser la figure !), dont un dénommé Chouchou! camille se fait copine avec un vieil homme d'art mais, finalement tout le monde décide qu'il est l'heure d'aller manger. Nous nous faisons accoster par un serveur qui, avec beaucoup de bagout, arrive à nous entrainer dans le restaurant  "Au cadet de Gascogne", sous l'oeil amusé du patron.

Il fait bon, les enfants  portent des chapeaux ridicules, le pianiste joue, nos rires fusent. Ils sont dus en partie à Laura qui imite une sorte de chameau, et aux messages de Marie Julia très...étranges. En tant que petits êtres frigorifiés (nous avons passé du temps dans les rues de Montmartre : Lucie et Julie se sont achetées des chapeaux et les autres ont guétté la nourriture !), nous décidons de reprendre les voies de métro. Claire nous fait prendre conscience de tous les microbes présents sur les barres de métro : "dans la pub, les microbes sont représentés par les lettre. T'as des lettres partout sur ta main !"

Scandons ensemble : "LES BARRES DE METRO SONT RESPONSABLES DE GASTRO !".

Justement dans le métro, tout le monde commence à être victime de la fatigue : nous rions pour rien et Joa soudain une lumineuse idée. Elle propose de jouer à "JAcadi a dit". Entre temps, quand Laura et Amélie discutent cela donne un langage de sourds. Sourdes en l'occurence, Laura dit à Amélie "J'ai chaud !" "moi aussi, toi aussi?" . Et un fou rire s'ajoute à notre palmares. Nous rentrons donc tout heureux. Sur le chemin envahit par des lettres à la recherche de corps perdus, nous décidons de nous lancer dans le jeu. Le premier "Jacadi a dit" est ,commeil se doit, celui de MArie Julia : "Jacadi a dit , vous montez les escalators à l'envers". Sitôt dit, sitôt fait. Nous voila partis à la conquête de l'escalator mouvant. Ce qui est pour déplaire à Laura. Tout le monde y arrive et les descend, sauf elle, qui stagne en haut. Mais elle y arrive tout de même, sous les acclamations de ses copains. Du coup, c'est elle qui fait le prochain jeu : "Jacadi a dit : on se roule par terre". Claire ("je perd toute crédibilité") et Jo en tête pour s'étendre sur le sol lisse et noir du,métro. La vision est tellemetn amusante que les autres suivent...malgré eux : la caméra tourne. Pendant ce temps, Marie Julia nous fait la mouette unijambiste, souvenir de la Tour Eiffel : quelques heures plus tôt, en effet, nous sommes allés voir la Tour Eiffel s'illuminer. Quel spectacle !  Le camps des mouettes contre celui des pigeons, les mouettes crient, résultat : des jeunes personnes ayant pourtant un esprit saint, ou un Saint esprit, se prennet pour des oiseaux. Merci chères accompagnatrices... Mais revenons à nos Jacadi... Après Laura, on laisse le choix à Lucie "jacadi a dit, slalomez entre les poteaux". Execution chef des pigeons ! et nous voile en skieurs parisiens, sous l'oeil amusé des passants préssés. Et puis Camille annonce "Jacadit a dit : on joue à saute mouton sur les (encore) poteaux. Sale affaire pour ceux qui font 1m50 ou moins, mais les courageux aventuriers continuent tant bien que mal. Amélie "Lareine", en admiration davant les mimiques de mini Grisou annoce : "Jacadi a dit imitez Laura". Celle ci, ne se le fait pas redire : elle prend la pause et avance en mode "je me la pète!". Sandrine , quant à elle, pense déjà au prochain gage : "jacadi a dit, traversez le passage piéton a cloche pied". Du coup, ce ne sont plus les passants qui nous regardent bizarrement, mais les automobilistes... ni vu, ni vu ! Arrivés sur le trottoir, tout essoufflés, nous n'avons pas le temps de respirer, claire dit "Jacadi a dit, faites du vélib". Nous grimpons donc sur les bicycles avec une fougue démesurée.  Nous pédalons : Lucie crie, Marie Julia et Audrey n'attrapent pas aux pédales et des éclats de rire fusent de partout. Solène enchaine: "Jacadi a dit, chantez au clair de la lune en canon. Quelques individus s'échappent l'instant d'un chant, bizarre, bizarre...nous sommes faites pour intégrer une chorale....ou pas...en tout cas, certaines se voient déjà chef d'orchestre...Mais Audrey renchérit : "jacadi a dit, suspendez vous aux grilles". Quitte à se prendre pour des chanteurs ou des cyclistes, maintenant on se prend pour des alpinistes...qui tombent ...sans commentaire.

Nous rejoignons ce qui ont avancés pour un Qg dans la chambre des filles. Réunion au sommet qui dégénère : nous sommes épuisés mais continuons à rire. Camille se trouvant à coté sz notre nourriture favorite (bonbons!), elle décide de nous lancer des dragibus les uns après les autres, les mains envahies de "lettres". Certains réussissent comme Audrey, Amélie, Antoine, Camille, d'autres sont à deux doigts d'y arriver... vraiment entre deux et six doigt..ou encore plus.
Hors de question de manger à présent ces dragibus tout pleins de lettres.

Et puis, en repensant à la file d'attente de la Tour Eiffel, Lucie et Claire s'éffondrent : "et si on faisait un film?". Tout le monde est motivé, c'est parti ! Caméra en main, Camille filme Amélie "Lareine" qui meurt, Lucie qui est montée sur le dos de son fidèle destrié, Antoine impassible en banquier, Laura et Sandrine qui joue la grand mère et le chat, Amélie qui essaie de se faire respecter en tant que chien, et les quatre Daltons à fond dans leur rôle : Averell a faim, Jack et William sourient et Jo fait sa crise. Quelle calamité ce Joe ! (calamity Jo ..).
Mais il ne faut surtout pas oublier le magnifique cri de Sandrine. En effet, pour savoir à quel camp on appartient, on doit soit imiter le cri du pigeon (clan de Lucie :"Vaillant pigeon de combat") soit la mouette (Marie Julia et ses sources Bretonnes). Lucie, Audrey, Amélie, Antoine dans le camp des envahisseurs de parcs et jardins, tous les autres sont dans le camp du majestueux palmipède. Mais Sandrine a décidé d'être neutre, elle nous fait donc un cri entre mouette et pigeon, pour le coup très réussi, que Lucie qualifie de "mutant".

Après cet épisode et ce film cahotique, nous allons à la douche pour passer une bonne nuit de sommeil.

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